On ne raconte pas un conte, on le « reconte ». On n’invente pas, on reformule, on s’exprime sur un autre ton, on rajoute des détails, on simplifie suivant notre humeur. On ne peut parler ni d’emprunt ni de plagiat, chaque narrateur réenchante le monde. N’étant pas russe, j’ai découvert ces récits dans les années quatre-vingt, je [ View Post… ]